Il y a quelques semaines, je me suis faite accompagner pour travailler sur mon alignement professionnel et ne pas perdre l’état d’esprit d’un entrepreneur. L’accompagnement était court, mais m’a permis de soulever des questions pertinentes que j’ai décidées de vous partager. Parmi elles, la question des bonnes décisions à prendre lorsqu’on est dans le brouillard, mais également le lien entre la recherche d’alignement professionnel, et la sortie de zone de confort lorsqu’on doit prendre des décisions pour son activité. Voici donc mes clés pour aller de l’avant professionnellement tout en restant aligné, mais en acceptant de se chambouler…

1/ Définir ce avec quoi on n’est pas aligné professionnellement

Avant de prendre des décisions, il est nécessaire d’être au clair sur les actions avec lesquelles on n’est pas aligné sur le plan business. Comme lorsque vous souhaitez trouver des idées pour démarrer une entreprise d’ailleurs.

Le non alignement, kesako ? C’est tout simplement ce qui va à l’encontre de nos principes et valeurs. À l’échelle de l’infopreneuriat, on peut trouver plusieurs cas de figure. Voici les miens :

  • Les lancements de formation : à titre personnel, je ne suis pas alignée avec la notion d’urgence pour la vente de formations en ligne, car je trouve qu’elles poussent à l’acte de l’achat, sans choix libre et éclairé ;
  • Les tarifs sous-évalués : tout entrepreneur a besoin d’argent. Mais pas à n’importe quel prix. Brader ses tarifs est la pire chose pour développer sa confiance en soi ;
  • Les success stories entrepreneuriales : le storytelling a le vent en poupe, mais attention à ne pas construire un mythe non fondé. J’ai fait le choix de partager mes moments de vulnérabilité, de doute et de peur, afin de véhiculer une image authentique avec laquelle je suis 100% alignée dans ma communication et mon branding ;
  • La prospection à froid, par téléphone ou par écrit : je pense avoir une plume, mais je suis très mal à l’aise avec l’idée de proposer mes services auprès d’un public qui ne me connaît pas et que je ne connais pas, et encore moins par téléphone, qui est un canal de communication que je trouve agressif.

2/ Définir le périmètre de sa zone de confort

La zone de confort, c’est le périmètre dans lequel nous nous sentons à l’aise. Sur le plan professionnel, il se définit par des compétences identifiées et répétées afin de créer une aisance. Cette zone de confort, c’est en somme une fluidité dans nos actions.

A titre d’exemple personnel, ma zone de confort repose dans l’écriture (et notamment le retour d’expérience personnel), mais également le coaching et la formation. À force de répétition, j’ai su produire des contenus de manière rapide et qualitative.

Mais attention, faire les choses fluidement ne veut pas pour autant dire qu’on est aligné avec !

Dispenser des formations qualitatives dans un domaine ne veut pas dire que je vibre pour ce domaine. Au contraire, rester dans sa zone de confort peut également générer lassitude, ennui et désalignement.

3/ Se tester pour élargir sa zone de confort

Depuis près de 5 ans d’entrepreneuriat, je n’ai cessé d’élargir ma zone de confort :

  • J’ai ainsi rendu fluide la production de contenu écrit (2 jours pour produire 700 mots en 2017, contre 2h pour produire 1400 mots en 2022) ;
  • J’ai rendu fluide ma prise de parole en public, en maîtrisant mon domaine d’expertise ;
  • J’ai rendu fluide ma production de contenus vidéos en étant plus à l’aise à l’écran ;
  • J’ai rendu fluide l’animation d’événements en encadrant des ateliers de groupe ;
  • J’ai rendu fluide la prospection en présentiel en démarchant des entreprises dans des salons ;
  • J’ai rendu fluide la relation client, en affirmant mes tarifs, mais également en relançant mes prospects.

Aujourd’hui, j’ai pris conscience qu’élargir ma zone de confort n’était pas un frein à mon alignement, mais au contraire, une perche tendue vers une activité toujours plus renouvelée et alignée.

Conclusion

Lorsqu’on est entrepreneur, il est important de développer une activité en partant de soi. Mais ce travail introspectif ne doit pas négliger une mise en pratique sur le terrain. Entreprendre, c’est tester, se challenger et apprendre. C’est de cette manière que j’ai pu élargir ma zone de confort tout en restant alignée. Si votre activité stagne, et que vous pensez avoir tout essayé, demandez-vous si vous avez repoussé les limites de votre champ d’action.

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