Comment monétiser son savoir, doubler son revenu en gardant son job actuel ?

Vous vivez dans une psychose. Non, c’est plus que ça. Vous vivez dans un enfer. Vous avez l’impression que quoi que vous fassiez, rien ne change. Pourtant, vous vous battez dur ; vous ne baissez jamais les bras. Chaque jour, vous êtes debout à 6 heures et c’est tard vers minuit que vous parvenez à trouver un moindre sommeil…

Dans votre travail, vous donnez le meilleur de vous. Vous êtes de toutes les missions, de toutes les tâches. Et pourtant… vous n’avez jamais reçu la moindre récompense. Même pas un petit mot de félicitations de la part de votre supérieur. Vous vous sentez comme acculé, et vous ne savez plus où donner de la tête.
Avec les factures qui s’accumulent telles une montagne de sable, le prix des produits qui grimpent plus que la valeur de BNP Paribas au CAC40, vous ne savez plus où donner de la tête. Votre vie se trouve pitoyable, remplie de tristesse. Vous savez quoi ? Vous n’êtes pas le seul. Des milliers de Français se battent au quotidien pour sortir de ce guet-apens que leur tend le système. Les années d’efforts, de bons et loyaux services ne sont plus reconnues et récompensées à leur juste valeur. Il y a de quoi rendre fou.
Cependant, il y a une bonne nouvelle.
La bonne nouvelle, c’est que malgré le salaire misérable que vous avez, il y a la possibilité d’avoir une seconde source de revenus qui vous permettrait de sortir la tête de l’eau. Avec ce second revenu, vos pourriez facilement régler vos factures, aller en vacance, manger convenablement et mettre vos enfants dans de bonnes écoles. La vérité est que votre vie changerait sur le coup.
Oui, cela est possible et cet article vous donnera quelques clés pour vous en sortir.
Sortir tôt le matin et rentrer fatigué le soir, presque toute la force ouvrière l’éprouve. Et c’est vrai qu’avec la fatigue, on ne pense plus à grand-chose. On n’a qu’une envie : manger et dormir. Et pourtant… malgré votre emploi actuel, il vous est possible de démarrer une autre activité à temps partiel.
Gérer cette seconde activité suppose que vous devez vous lancer dans quelque chose qui ne vous demande pas trop d’effort et qui ne prend pas assez de temps. Aujourd’hui c’est possible.
Nul doute que certains d’entre vous possèdent déjà les requis pour se lancer et commencer à gagner de l’argent.
Bien des gens à qui on donne le conseil de se lancer sortent des excuses bidon. Bah ! L’être humain a toujours été un champion pour trouver justification à tout.
Lorsqu’on demande à quelqu’un pourquoi il ne fait pas telle chose, voici ce qu’il dit :
- Je n’ai pas de temps (pourtant, il ne rate jamais un épisode de Games of The Thrones) ;
- Je n’ai pas d’économie pour me lancer ;
- Je ne sais pas dans quel business me lancer ;
- J’ai peur d’échouer ;
- Je ne sais pas si ma femme ou mon mari va accepter que je me lance dans ça.
- Etc.
Ce sont des arguments de paresseux, de procrastinateurs et défaitistes.
C‘est évident que ce n’est pas un parcours d’enfant de se lever un bon matin et lancer un business surtout lorsqu’on pense ne pas avoir d’argent, d’idée ou de temps. Mais à force de curiosité, de volonté et rage de réussir, on peut changer sa situation. Quitter un état de précarité matérielle et psychologique et atteindre un niveau raisonnable où on parviendrait à manger à sa faim et assurer l’avenir de ses enfants.
Aujourd’hui, avoir un second revenu n’est plus une option, c’est devenu une obligation. Et si vous ne voulez pas vous retrouver un bon matin avec des factures énorme comme le compte de Bill Gates, alors vous devez commencer à y songer aujourd’hui même.
Dans cette perspective entrepreneuriale, il n’est pas absolument question que vous soyez le prochain Mark Zuckerberg ou un Jeff Bezos Bis. Il est plutôt question d’utiliser ce que vous avez déjà pour démarrer.
Cette activité concerne la vente de son savoir ou, disons-le plus nettement, la monétisation de son savoir-faire.
Saviez-vous que dans de nombreux pays, des gens vivent juste en monétisant leur savoir ? On ne parle pas ici d’aller encore être salarié pour quelqu’un en échange d’un salaire à la fin du mois. Non et non. Il s’agit plutôt d’être maître de soi et de vendre son savoir à ceux qui en ont besoin et qui sont les plus offrants.
Vous verrez que ce n’est pas si difficile que vous le pensiez. Il suffit parfois d’un petit éclairci et cet article vous donnera ce qu’il faut.
Trouver la compétence que vous maîtrisez déjà le mieux ou l’apprendre
Au moment où vous lisez cet article, vous avez déjà sans doute des compétences que vous maîtrisez. Vous avez eu un diplôme dans un domaine précis et vous avez travaillé dans ce domaine durant X années ou mois. Cela fait de vous une personne qui connait son métier. Parmi toutes les compétences que vous avez, il va falloir choisir la compétence pour laquelle vous êtes le plus doué, car c’est l’élément qui fera la différence entre vous et un autre.
Si vous n’avez pas cette compétence, vous pouvez l’apprendre en quelques mois ou quelques semaines si vous êtes assez motivé.
Délimiter le temps que vous pourriez mettre à disposition de votre nouvelle activité
Démarrer votre activité va bouleverser votre vie : tant sur le plan personnel que sentimental si vous avez un conjoint. Mais cela n’a pas à être un changement radical. Il sera important de visualiser le temps global que votre emploi actuel occupe dans votre vie. Ensuite, il vous faudra cerner les activités auxquelles vous participiez le plus souvent, mais qui n’étaient pas indispensables. Voir des films à longueur de soirées par exemple n’est pas important. Après ces étapes, il faudra déterminer les plages horaires nécessaires à votre nouvelle activité. En prenant en compte que c’est une activité à temps partiel et qu’elle ne doit pas vous absorber.
Choisir le type d’activité à délivrer
Dans la monétisation du savoir, il y a plusieurs activités. Mais nous nous limiterons juste à deux d’entre elles : le Freelancing et la formation en ligne.
Ces deux activités concentrent une part importante des activités relatives à la monétisation du savoir. Le plus, c’est que vous n’avez même pas besoin d’avoir un bac + 17 pour les exercer. Vous verrez pourquoi ci-dessous.
Dans le freelancing, il est question d’exercer des tâches pour des entreprises ou professionnels qui sont dans le besoin. Cela signifie que quelqu’un vous contacte pour faire un travail, et dès que c’est fait, vous touchez votre argent. Aussi simple que ça.
Si vous avez une expérience dans le webdesign, vous pouvez facilement vendre vos services à des PME qui sont dans le besoin et qui n’ont pas les moyens de se payer une grosse agence web. De même si vous avez de sérieux atouts dans la rédaction web, de milliers d’entrepreneurs seront désireux de vous payer pour s’attacher vos services.
Trouver les clients avec cette activité est devenu plus facile. Il existe des plateformes qui mettent en relation des prestataires indépendants et des entreprises dans le besoin. Des sites comme Hopwork ou Upwork en font partie. Lorsque vous y allez, vous créez un profil et vous postulez aux missions qui sont publiées. Si votre candidature est retenue, vous avez gagné le job. Le must dans cette activité est que vous puissiez l’exercer seulement 8 ou 10 heures de temps par semaine pour vous faire un sacré paquet d’euros. Tout dépend de votre disposition.
La deuxième façon de monétiser son savoir est de devenir formateur ou coach pour des personnes qui veulent apprendre de nouvelles compétences.
Imaginez que vous avez cinq personnes qui vous paient chacune 200 euros pour maîtriser une seule compétence que vous avez, ne seriez-vous pas fier de gagner un petit 1000 euros en quelques jours ?
Pour votre gouverne, le marché de la formation en ligne se chiffre dans les 200 milliards de dollars. Donc si vous doutiez encore de son potentiel, il est temps de changer de regard.
Pourquoi c’est un métier en devenir ?
Car le système éducatif traditionnel n’attire plus de masse. La plupart de ceux qui y vont encore le font par manque d’alternatives claires. Mais pour les plus éclairés, ils se dirigent tous vers des formations courtes qui leur permettent de maîtriser une compétence donnée. C’est là que vous entrez en jeu. Si vous avez travaillé dans le développement web durant 6 ans, il y a fort à parier que vous êtes un As. Pourquoi ne profiteriez-vous pas de cette opportunité ?
Alors il est temps de vous lancer.
Pour réussir dans ce business, il y a des paramètres à prendre en compte :
- Déterminer la compétence que vous allez dispenser comme cours ;
- Monter les modules ou les parties de votre formation ;
- Choisir sa plateforme.
De nombreuses plateformes de formation en ligne permettent de dispenser des cours à un groupe d’apprenants.
Dès que le choix de la plateforme est fait, l’étape suivante est de vous familiariser avec ses outils et de créer ensuite votre formation. À ce niveau, ne vous inquiétez pas trop, car la plupart des plateformes donnent des outils adéquats pour se créer, monter, structurer, gérer et vendre votre cours de façon aisée.
Après la création de votre cours, il va à présent s’agir d’encourager les gens à acheter vos formations. Et c’est là que vous devez lancer des actions de promotion. Monter un blog, faire des articles invités ou participer à des groupes et forums en vue de faire valoir son expertise et se remarquer sont des solutions à bas coûts qui marchent et peuvent vous assurer une visibilité donnée.
Il y a fort à parier qu’après quelques semaines, votre travail se mette à porter ses fruits, car le travail paie toujours. Vous pourriez ainsi vivre votre vie autrement que par les frustrations et la tristesse.
En conclusion
Travailler pour un autre indéfiniment est une chose, mais ne pas penser à mener sa propre activité est un aveu d’échec et de perdition. Le travail n’assure plus rien du tout, d’autant plus que le travail n’est même plus assuré lui aussi, que vous ayez un MBA ou un PHD. C’est pourquoi il est temps de lancer votre propre activité en parallèle. Cet article vous a donné deux façons de démarrer une activité en plus de votre emploi actuel, mais il y a d’autres activités qui permettent tout aussi de pouvoir s’assurer des jours meilleurs. Et vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez rien.
Que vous inspire cet article ? Vous a-t-il motivé à passer à l’action ? Faites-le-nous savoir dans la section commentaire.
7 commentaires
Merci ! Il faut modifier la pensée qu’aujourd’hui on ne gagne de l’argent qu’en échangeant son temps. L’astuce est de se créer plusieurs sources de revenus et si possible d’automatiser.
C’est possible puisque d’autres l’ont fait !
Pour ma part j’ai gagné mes premiers euros de cette façon le week-end dernier pendant que je dinais avec des amis. Ce n’était que 30€ mais c’est un début 🙂
Je me suis fixée le devis de remplacer mon salaire d’ici juin !
Encore merci Jérôme pour cette piqûre de rappel.
Il existe aussi une autre plateforme Skillee qui permet de mettre en relation Freelancers et Entreprises !
Cette startup vient de voir le jours, elle est top aussi 🙂
https://skillee.io/
Merci pour cet Article,
Je crée en 2017 mon entreprise dans la Communication Digitale et il est vrai qu’au delà de l’avantage que procure une activité freelance, c’est aussi un moyen de trouver du travail tout simplement.
Je prépare une thèse de doctorat en droit de la communication et j’ai obtenu un diplôme de Webmaster. Des compétences et des savoirs j’en ai à revendre.
Seul problème, Je suis femme de 33 ans sans enfants, ce qui est un énorme frein à l’embauche.
J’ose espérer que cette activité me permettra de trouver simplement du travail…
Dans cet article il y a une très grande méconnaissance des contrats de travail réalisés en France qui sont de plus en plus exclusifs et interdisent un second emploi, ne serais ce que d’une heure par semaine. Si besoin, je peux communiquer à l’auteur de cet article les informations nécessaires. Car si certains pourraient croire dans cet article, ils se retrouveraient en irrégularité face à leur employeur avec un risque de rupture de leur contrat de travail et même en cas de souci sur la réalisation de leurs tâches un reproche justifié de leur employeur leur permettant de les licencier dès qu’ils seraient informé de cet emploi complémentaire
Article très intéressant, néanmoins un peu dans le jugement même si je comprend votre point de vue et votre approche.
Pour ceux qui veulent investir leur temps d’une des meilleures manières qui soit, je les invites à jeter un oeil à http://victoire.co , pour créer ou rejoindre le futur job de vos rêves.
C’est une plateforme d’entrepreneuriat coopératif qui propulse des projets à fort impact sociétal, en connectant de brillantes idées à une communauté de talents en capacité de les réaliser et partageant les mêmes intérêts, pour entreprendre et co-développer des produits numériques intelligents, innovants et impactants capable de changer le monde.
Les meilleures idées prennent vie et sont proposées vers leurs succès entrepreneurial (le meilleur cadre pour rendre autonome et donner de la puissance à un projet), grâce à un matching social innovant, l’engagement participatif, les derniers outils numériques SaaS, et Internet.
Cible :
– Talent numérique ou business ouvert aux opportunités et souhaitant investir ses compétences dans des projets riche de sens, passionnants et engageants ;
– Inventeur ayant de brillantes idées, mais pas les compétences, les moyens ou l’envie de le faire soi même ;
– Entrepreneur ayant déjà l’idée ou l’envie d’entreprendre une idée de la plateforme dont la vision, la mission et l’impact le porte et le pousse à tirer le projet jusqu’à son succès ;
Bonjour
Article intéressant et stimulant.
Par contre il manque un focus sur la manière d’être en règle vis à vis de l’URSSAF et des impôts ? Même le statut d’autoentrepreneur n’ait plus aussi attractif qu’autrefois.
Il faudrait imaginer un dispositif simple permettant à chaque salarié de tenter l’aventure. Une franchise en deçà de laquelle aucune démarche n’est à réaliser pour le salarié ?! Quelque chose s’apparentant au chèque emploi-service…
Pour stimuler entrepreneuriat il faut que chacun puisse se lancer sans formalité. Juste pour essayer !
Article intéressant mais général sans cas concret. Qu’en est il quand on a des compétences particulières dans un marché restreint et ultra concurrentielle ?